mercredi 27 janvier 2010

A l'attaque


J'ai redonné sa chance au club de fitness à Copenhague et plus précisément au cours de Body Combat. Mon expérience en matière de body combat a débuté à Hong Kong en 2007 où j'avais été pas mal séduite par le côté boxe française mixée à un cours de fitness. Mais bon ça n'a pas franchement duré entre nous, et j'ai préféré flirter avec le wakeboard après le boulot (flagrant délit de cranâge ET de mytho). J'ai toutefois persévéré à Paris en 2008 où là j'ai carrément été dégoutée à vie. On y était allée avec les poolettes, en quête desespérée d'activité sportive sympa à Paris, après avoir tenté:
- la danse du Marais dont les chorés trop compliquées même pas de Mia Fry ne vous attendront jamais
- la natation à Pontoise et ses 45 personnes dans une ligne de nage, ses cheveux dans l'eau et ses pervers qui vous caressent subtilement la jambe dans une brassée coulée
- l'aquagym de Montparnasse et sa moyenne d'âge de 65 ans
- le tennis couvert l'hiver sous les pauvres tentes pas vraiment froid-proof du stade Elisabeth
- la gym suédoise dans des salles random de Paris où tu retrouves des copines (ou pas) de lycée
- l'aquajogging (ils se foutent vraiment du monde) de Joséphine Baker
- etc. etc.
Au beau milieu de tout ça, on avait décidé de tester la "salle de sport", concept Ô combien dégoutant pour nous autres petites françaises pas très sportives. Les machines de torture et le cours de Body Pump (comprendre muscu) c'était hors de question. On a donc opté pour le rythme soutenu et défoulatoire du body combat qui nous semblait approprié. C'était sans connaître le succès très surprenant de ce cours et la stratégie des salles de gym consistant à ne pas limiter le public dans les mincuscules salles vitrées... on était peut-être 9000 dans un bocal de 20 m carré (et je suis pas marseillaise!). Comme on était à labour, au moment d'arriver dans la salle, il a fallu se répartir dans les petits trous laissés par la foule déjà en place et c'est là que le cirque a commencé. Sur une musique repoussant toujours plus loin les limites de décibels supportables pour l'homme, 80 body combattants se mirent à donner des coups de poing et de pied dans l'air, parfois même en poussant des cris guerriers: "yeah" "yeah". Alors tant qu'on reste concentré sur le rythme et les exercices (l'horaire en fin de journée de boulot aidant beaucoup à cela) ça va. Mais si on a le malheur de lever la tête et de regarder ce qu'il se passe autour de soi, alors soit on se fait à sérieusement flipper, soit on a un fou-rire irrépressible (toute ressemblance avec la vie en général serait fortuite et indépendante de la volonté de l'auteur). Ca m'est arrivé pendant l'exercice qui consistait grosso modo à donner des coups vers le sol, je me suis retournée vers Flo et je l'ai vue achever, de la force de ses petits poings, ce pauvre malheureux homme imaginaire déjà à terre. Le fou rire. Enfin l'apothéose c'était quand même de voir au bout de 15 minutes, les gouttes de transpiration venant de son gros voisin de derrière pleuvoir sur le dos de Marie...
Et voilà. On est sorti de là dégoutées, toute cassées et sourdes.
Et malgré tout j'a remis ça la semaine dernière, mais ici avec la retenue naturelle des danois c'était bien plus chic.
Bon ça garde son côté "on est des super women fighters killeuses de la mort qui tue", mais la boxe française se mélange à l'art martial donc on se bouge pas mal et on a un peu l'impression d'être dans un manga. Ou la nana de Nicky Larson. C'est rigolo.

Lorsque les coups de feu résonnent

Comme un éclair il tourbillonne
Surtout si la fille est mignonne
Nicky Larson ne craint personne

dimanche 24 janvier 2010

Le clip de la fille au coeur de lapin


Here I am, the rabbit hearted girl, frozen in the headlights, it seems I've made the final sacrifice
This is a gift, it comes with a price, who is the lamb and who is the knife, Midas is king and he holds me so tight, and turns me to gold in the sunlight

Mais il faut écouter le reste, les paroles sont vraiment belles. Florence Welsh parlerait dans cette chanson du sacrifice à faire pour la célébrité. On pourrait demander à Britney, Eminem et Michael ce qu'ils en pensent. Extrait d'une interview: "I think it was just all about me about to jump into the limelight and being in the music industry stuff like that. But it is sorta joyful in a way because its all about giving yourself up and letting it go and you start off being a sort of timid rabbit heart and you have to become courageous and become a lion heart"
Et puis on comprend que les thèmes de célébrité, de sacrifice, l'univers onirique-mythologique de la vidéo et la référence à Midas vont ensemble. Pour l'histoire: Midas c'est le roi de Phrygie à qui Dyonisos a donné le pouvoir de transformer tout ce qu'il touchait en or. Quand il se rend compte que ça l'empêche de manger et de boire, il supplie Dyonisos qui lui reprend son présent en lui ordonnant de se laver les mains dans les eaux du Pactole dont le sable se changea en or. Mais Midas c'est aussi un talentueux musicien qui est nommé comme juge afin de déterminer qui du satyre Marsyas ou d'Apollon joue mieux de son instrument. Les muses qui sont aussi juges préfèrent Apollon mais Midas choisit finalement le satyre. Et c'est ainsi qu'il finira avec des oreilles d'ânes dont l'a affublé Apollon pour se venger. (merci wiki!)
Florence Welsh c'est une anglaise dont j'ai beaucoup parlé autour de moi depuis que je l'ai découverte au festival Beatday ici l'été dernier au moment où elle faisait un carton en Grande Bretagne. Ca a été le coup de foudre: une tornade sur scène, ou plutôt l'explosion d'une comète, sa tignasse rouge formant une torche enflammée, perçant le public de sa voix si pure et pleine d'une force qui emporte tout avec elle mais qui ne vous veut que du bien.
Je l'ai écouté en boucle pendant des semaines (j'ai un rapport assez passionnel à la musique, je m'en rassasie jusqu'à ce que l'écoeurement me le fasse rejeter) et puis ignoré pendant des mois. Mais en revoyant cette vidéo, j'ai littéralement des frissons de la tête au pied.

jeudi 21 janvier 2010

BerlinGo

but janvier au lieu de manger de la galette des rois, j'ai passé un super week-end a Berlin chez masoeur chérie. J'y étais déjà allée en décembre 2008 avec chameau pour faire les touristes et aussi les parisiens-qui-vont-à-Berlin et j'ai donc pas eu besoin cette fois de cocher la check-list "To Do" du mini Lonely Planet.
Et bien ce week-end m'a en quelque sorte rassurée sur la question Berlin, parce que par rapport à tout ce que le monde en disait j'étais très sceptique. Après en avoir discuté avec ma berlinette cendrée, j'ai pu donc confirmer que Berlin en hiver c'est quand même assez moche, tristounet, immensément grand, assez dépeuplé et presque glauqui. On oublie vite à quel point ça a été détruit. Quand on y vit l'hiver c'est assez différent. Et c'est comme ça, c'est Berlin.
Ne vous méprenez pas, j'adore cette ville et aimerait même y vivre car c'est parait-il très sympa en été, les berlinois sortant de leur terrier pour envahir les BierGarten, restos, cafés, bars, boîtes complétement insolites (à la limite de l'absurde). Et puis c'est très détendu, et je trouve qu'à toute heure et tout endroit de la ville s'exprime une très grande liberté.
En fait, Berlin c'est la ville qui en toutes choses, et en toute période de l'année, vit à son rythme et se fout complètement de ce qu'on va penser d'elle. Et c'est précisément ça qui m'avait destabilisée la première fois.

mercredi 20 janvier 2010

Recette de grand-mère pour un bon lavage de cerveau

Cette après-midi au boulot, je n'étais pas invitée à la diffusion en web broadcast du leadership forum de MaBoite. Donc j'y suis allée.

Pour la préparation de la recette, il est bon de bien séparer les leaders que l'on incorporera au mélange, des autres.

Pendant deux heures le CEO de MaBoite et son équipe de supermans ont donc présenté les principaux résultats de 2009 et objectifs pour 2010 aux 120 000 employés de la boîte par transmission web vidéo (non non je vous en supplie ne zappez pas, le blabla corporate s'arrête la!). Après une attente de vingt minutes...


Laissez mariner votre mélange le plus longtemps possible, ça ne le rendra que plus curieux

le show a enfin commencé et là vraiment j'ai cru qu'ils s'étaient gourés de chaîne. Ces mecs là ont reproduit pour leur leadership forum le plateau de Qui veut gagner des millions? assez drôle quand on connaît me niveau de salaire dans l'industrie et le nombre de licenciements dans le groupe cette année. Jean-Pierre MaBoite est donc arrivé sur scène, en chemise marron à rayures déboutonnée et jean, les spots à fond sur lui en contraste avec le public dans la pénombre.

Pour la présentation du plat ne lésinez pas sur la déco


Pendant les deux heures qui suivirent, se sont succédés sur le plateau:
- des phrases et des mots forts et inspirateurs comme "tremendous", "exceptionnal", "proud", "achievement", "team", "tsunami"
- des bonnes bonnes blagues
- des big guys - mais par contre des big gals à part en Comm et en RH, j'en ai pas vu beaucoup
mais surtout surtout élément clé de toute recette "An image being worth a thousand words"
- quantité astrologique de vidéos clips compilés sur de la musique pop
- images référant au choix à l'espoir, la nature, l'enfance, les pubs Benetton la diversité...

Mélangez tous ces ingrédients - et si vous avez un mixeur c'est encore mieux - et servez chaud! Vous verrez vos invités en redemanderont!


Ndlr: après ces 2 fabuleuses heures à frisonner, j'étais trop contente de bosser pour MaBoite... ça a duré 30 secondes. Mais bizarrement le soir même j'avais l'impression d'avoir participé à quelque chose de big aujourd'hui. Si c'est pas une recette qui déchire ça!

vendredi 15 janvier 2010

xx (x)


Un tout petit post musical pour vous faire partager ce morceau génial parce que 1. je l'ai écouté ce matin et ca m'a donné envie de danser, de chanter, de faire de la batterie imaginaire avec mes poings qui battaient l'air à moins 5 degré dans les rues de Copenhague, de me mettre à la guitare électrique tout ca à la fois + un sourire en croissant de lune et 2. je vais les voir en concert ce soiiiiiiiiiiir!!! Ouiiii lucky me!
(photos et impressions du show à venir)

jeudi 14 janvier 2010

B.S.E.

J'ai trouvé ma meilleure série télé de la Terre entière, je nomme tada tada: Cougar Town. C'est très drôle et surtout ça réconcilie avec l'hiver, avec l'attente du nouveau Gossip Girl, avec la journée pourrie, avec la déprime de vieillir, et celle d'être célib, avec les américains, avec les minis robes fluos et les imprimés fleuris, avec son tocard d'ex, avec les "dude", "honey", "sweetie", avec la fast food et les mean girls etc. etc.
Extraits (est-ce que hors contexte ça rend naze? du genre: pom pom pom... (avec la voix de + en + grave)?)

- Honey, it's not YOU, it's that damn little mirror!

- Slutty dummy screws up again and she gets rewarded??

- Ellie it's fine... I'm just taking out the trash. If my neighbour happens to find me attractive, well... I win!
- Win what?
- I don't know. Stop asking stupid questions!
- But sweetie... nobody wears boob tape before 10am

Et en + les critiques sont hyper mauvaises, ce qui est bien car comme ça personne vient m'emmerder. Et en ++ le pilote commence avec le punchissime Lisztomania de Phoenix que j'adooooore. Jeudi 14 janvier 2010: Cougar Town, you made my year

Oh My....

Le matin chez moi à Copenhague, je suis fatiguée-au-radar et pressée-en-retard et j'en oublie souvent de me regarder dans la glace avant de partir. A ma décharge je n'ai pas de miroir en pied exactement dans ma chambre et aussi je bosse dans l'industrie.
Mais ce matin quand même en arrivant au boulot, une miraculeuse présence d'esprit m'a poussée vers le grand miroir des toilettes et un "Ouh putain..." incontrôlé s'est échappé de ma bouche, comme un sévère ultimatum fashionistique façon commentateur sportif. Promis j'essaierai de ne plus recommencer.
Si vous aviez vu mon look...

lundi 11 janvier 2010

Une obsession? Quelle obsession?


Miaaaaaam le beau gâteau que j'ai fait pour l'anniversaire de ma copine... Mmm ça sent bon n'est ce pas? Ben ouai carrément que je crâne c'est le seul truc que je sais faire et qui ne me prenne pas une heure ou ne mette pas dans un état d'angoisse insurmontable...
Ca me mène à vous parler de bouffe un peu, et plus particulièrement d'une spécialité gourmande de Noël au Danemark: les aebleskiver (prononcer ébleskiweur). Ce sont des petites boules rondes adorables que l'on saupoudre de sucre glace, c'est tellement joli ça fait comme les flocons tout blancs sur Copenhague quand il neige (preuve par la photo). En danois ça veut dire à peu près "beignet rond aux pommes" c'est à dire une grosse arnaque parce qu'en vrai à l'intérieur ya pas de pommes. Je sais parce qu'on en a fait les frais avec An le jour où on a décidé de faire de la Cuisine (avec une majuscule car c'est un grand mot pour nous). Nous étions au supermarché et nous cherchions un bon dessert pour assortir notre plat poisson pané + légumes... c'est à ce moment là que nous nous trouvîmes nez à nez avec les aebleskiver dans le rayon surgelés et nous en emparâmes. Une fois notre bon repas avalé, nous sortîmes du four les petites boules chaudes rondes et moelleuses à l'odeur de beurre chaud et sucré et croquâmes une bouchée brulante et mousseuse dans leur carapace légèrement croquante. Puis silence. Le palais et les papilles se mirent au travail et tout à coup An me regarda avec des yeux ronds comme des pommes. "Do you taste any apple?" Et bien non car pas de pommes dans les beignets aux pommes au Danemark, et on s'est pourtant envoyé le kilo entier. Par contre on a bien kiffé devant Twilight sur notre télé vintage écran 13 pouces (imaginez un peu la magie du film dans ces conditions...) à gueuler sur Edward et Bella: "Kiss Kiss Kiss" entre deux pleines bouchées de beignet. Grwoumchhh Edwardchcrch I looovvcrrnche youuu

mardi 5 janvier 2010

Les joies de la Z.I.

 
  Le matin quand je pars travailler c'est toute une expédition en ce moment. En premier j'enfile mes grosses chaussettes de randonnée par dessus mon collant et mon jean, puis mes bottes en caoutchouc version motarde, mon gros pull et ma doudoune couette qui me fait la silhouette d'une aubergine, mon écharpe qui fait 3m de long et mes gants et je pars de chez moi. Ca se passe aux alentours de 8h et à ce moment là je ne sais pas vraiment à quelle heure je vais arriver au boulot. Je prends un bus, un train et je marche dans la neige pendant dix minutes et tout ça ça fait pas mal d'aléas.

Et bien je n'aurais pas pensé dire ça un jour mais en fait c'est super cool de bosser en zone industrielle à 50 minutes de ma maison (mais siiii). Ben oui parce qu'ici la neige elle tient et c'est super joli et poétique. Et puis c'est tout calme, quand elle tombe elle étouffe tous les bruits, c'est comme une bataille d'oreillers filmée au ralenti et en muet dans une comédie romantique américaine. (Et ne me dites pas que vous voyez pas de quoi je parle!)

Ce matin dans le train c'était encore plus beau. Déjà j'adore l'impression des paysages qui défilent dans la fenêtre des trains, je trouve que c'est une des images les plus romantiques et mélancoliques qui existent. Un des rares moments de la vie où on a vraiment et humblement l'impression d'être dans un film. Ce matin le paysage passait sous mes yeux en noir et blanc. Plus aucune couleur. J'avais jamais vu ça de ma vie.


Clip à la folie qui donne envie de partir à la découverte


Evidemment vous avez entendu parlé de la belle association de Charlotte Gainsbourg avec Beck pour la sortie du dernier album de l'icône francaise. Moi ca m'emballe, au propre comme au figuré. Ca me donne envie d'aller découvrir le monde et de faire un millier de nouvelles expériences, tout ca avec la grâce de Charlotte. Le paradis peut bien attendre, non?

lundi 4 janvier 2010

Copenhague, écran 13pouces, 4 janvier 2009


Photo: Chameau
Je savais vraiment pas quoi mettre comme titre, j'avais vraiment pas envie de mettre Bonne année parce que ça commence à me gonfler (et en plus j'ai encore laissé refroidir mon thé) et puis j'avais envie de rendre hommage à Soulages que j'ai vu le week end dernier et oui de me la péter oui. Hihi.
Enfin bon cela dit je vous souhaite tous mes voeux de bonheur pour 2010, mais franchement c'est un peu concon de décider que d'un jour à l'autre tu peux plus dire bonjour à quelqu'un sans entendre un "Bonne annéééiiiiiie" bien strident, et que d'un coup ça y est les compteurs sont à zéros il va falloir que ça se passe bien. Et puis moi je trouve que ça s'enchaine trop vite les années, dans ma tête ça devient comme dans un Mac non justement comme dans un PC tout pourri avec des petits dossiers d'archives 2008, 2009, 2005, 2001 qui s'accumulent sans que j'ai eu le temps de tout bien ranger (non mais franchement 2005 c'était ya 5 ans?? ya 5 dossiers?? non mais qui va croire ça?...) Bon donc je décide à partir de maintenant (tadaa) que le temps ne se découpe plus en années qui s'empilent. La question maintenant, à laquelle j'ai pas eu bien le temps de répondre, c'est: quelle unité prendre du coup? Bon ben comme ça à chaud je pense que j'obterai plus pour la minute que pour la décennie parce que:
1. yen a tellement et ça passe objectivement assez vite une minute, pour que le fait de me dire que ça passe vite ne m'angoisse plus. et puis c'est sûr y aura personne pour vous dire Bonne minute!!!! toutes les 60 secondes
2. franchement se concentrer sur la minute présente c'est pas un grand pas vers le bonheur déjà?
3. t'imagines le bad si on te disait: Bonne nouvelle décenniiiie! Et bim en un bonjour tu te prends dix ans dans la tronche et en plus t'as pas intérêt à te planter parce que t'en as pour dix ans
et 4. oui j'aime bien faire des listes, 1, 2, 3, tac, tac, tac ça fait clair comme ça.
Ah oui alors c'est sûr ça ne laisse pas beaucoup de place aux grands projets, à l'ambition tout ça. C'est vrai que le "Quand j'aurai 10 millions 512 mille minutes (hé quand même... pas mal!) je serai docteur" ça passe moyen et on finit par pas faire grand chose de sa vie. Mais bon.
En tout cas je viens de vieillir de 70 merveilleuses minutes à écrire cet article de génie (ouai pas une rapide la nana, en même je vous écris de mon nouveau Mac que je ne maîtrise pas à 100% et en plus je dois faire réapparaître tous les accents que j'avais plus sur mon Qwertyinn) et je crois bien que ça marche pour moi, je raconte toujours autant de conneries.
Sur ce, bonne prochaine minute!

Ps. Je râle je râle mais ya un truc dont je redécouvre le plaisir dans tout ça: les cartes de voeux... c'est tellement désuet au milieu de toutes ces nouvelles technologies, tellement décadent... c'est décidé je m'y mets!